être un•e jeune
basketteur•se 'tall'
 & suivre un stage de   perfectionnement élaboré   exclusivement pour les 
 'Très Grands Gabarits' (T.G.G) 

Isabelle Fijalkowksi : « Le programme 'Avenir en Grand' est national. En Ile-de-France, du fait de la concentration de population, nous sommes la Ligue qui détecte et est en capacité d'accompagner le plus de jeunes. 

Nos missions sont multiples et consistent à :
- détecter et signaler ces Grands (G.G.) et Très Grands Gabarits (T.G.G.) ;

- d'évaluer et suivre les profils dits 'à maturité retardée' ainsi que les Grands et Très Grands Gabarits ;

- d'intégrer systématiquement ces joueurs et joueuses dans les sélections départementales, les structures d’entraînement et les Pôles ;

- de proposer des programmes de détections et d’entraînements spécifiques à ces jeunes profils masculines et féminins via les Camp G.G. et T.G.G. ;

- de soutenir les clubs et sensibiliser les techniciens et éducateurs aux spécificités de ces profils de joueurs et joueuses ;

- et aussi de valoriser les entraîneurs, les clubs et les Comités Départementaux dans la détection et la formation du joueur et de la joueuse ».

Isabelle Fijalkowksi : « Le programme 'Avenir en Grand' est national. En Ile-de-France, du fait de la concentration de population, nous sommes la Ligue qui détecte et est en capacité d'accompagner le plus de jeunes. Nos missions sont multiples et consistent à :
- détecter et signaler ces Grands (G.G.) et Très Grands Gabarits (T.G.G.) ;
- d'évaluer et suivre les profils dits 'à maturité retardée' ainsi que les Grands et Très Grands Gabarits ;
- d'intégrer systématiquement ces joueurs et joueuses dans les sélections départementales, les structures d’entraînement et les Pôles ;
- de proposer des programmes de détections et d’entraînements spécifiques à ces jeunes profils masculines et féminins via les Camp G.G. et T.G.G. ;
- de soutenir les clubs et sensibiliser les techniciens et éducateurs aux spécificités de ces profils de joueurs et joueuses ;
- et aussi de valoriser les entraîneurs, les clubs et les Comités Départementaux dans la détection et la formation du joueur et de la joueuse ».

Isabelle Fijalkowksi : « Filles comme garçons, les profils des T.G.G sont différents. On peut avoir des jeunes qui sont en retards en terme de maturité ; c'est-à-dire qu'ils /elles sont très grand·e·s et très fin·e·s, comme on peut aussi avoir des jeunes aux physiques plus imposants.

Certain·e·s sont déjà parfaitement coordonné·e·s, tandis que d'autres doivent encore développer leur schéma moteur, parce qu'ils/elles qui bougent tout le temps, du fait de leur taille, de leur corps qui continue de grandir et ils/elles peinent encore à se repérer dans l'espace. La taille étant d'ailleurs un paramètre très incertain, leur développement nécessite un accompagnement sur mesure.

Ensuite, il peut y avoir des jeunes qui pratiquent le basket depuis plusieurs années en club, comme d'autres qui viennent d'autres sports et qui débutent tout juste.

À tous·tes, leur point commun est que leurs aptitudes physiques et techniques, de part leur gabarit, nécessitent des méthodes et des entraînements différents de celles enseignées aux autres joueurs / joueuses de taille 'standard' ou évoluant à d'autres postes que celui d'intérieur. »

Isabelle Fijalkowksi : « Nous avons plusieurs journées de stage réparties sur l'année. Ces journées se déroulent sous forme d’ateliers avec un maximum de 20 participant·e·s par session, permettant ainsi un suivi personnalisé et intensif de chaque jeune.
Nos objectifs sont de leur permettre de développer leurs compétences individuelles en leur enseignant des techniques d'échauffement, d'entraînement et de jeu adaptées à leur gabarit. 

Le staff  d'encadrants est composé d’entraîneurs expérimentés, spécialistes du jeu d'intérieur, et d’ancien·e·s joueur·euse·s professionnel·le·s qui viennent assister aux entraînements ; ces dernièr·e·s prodiguent leurs conseils et partagent aussi leur expérience de 'Grand'. Une dizaine d'anciens basketteurs et basketteuses se relayent ainsi régulièrement. Parmi eux, on compte Franck Tshiloemba (2m05), Emir Coco (2m07), Hajdana Radunovic (1m93), Kerline Verjuin (1m88), ... La saison dernière, Bastien Vautier (2m01), d'origine Francilienne, actuellement pivot à l'ASVEL ainsi que l'ancienne basketteuse internationale Helena Ciak (1m97) étaient présents.

Lors d'une journée de stage type, nous sensibilisons toujours les jeunes à l'importance de l’échauffement, de la préparation physique et de la prévention des blessures. On leur enseigne des méthodes et des exercices  qu'ils n'expérimentent généralement peu ou pas dans leur club, afin qu'ils soient en mesure de les reproduire de façon autonome dans la suite de leur parcours.

Ensuite, nos séances d’entraînement sont toujours structurées de manière équilibrée : on consacre généralement la moitié du temps aux fondamentaux spécifiques techniques et physiques et le reste du temps à des moments collectifs sous forme de jeu, allant du 1 contre 1 au 3 contre.

Pour ce qui concerne les fondamentaux spécifiques liés au poste de joueur intérieur, on axe les entraînements sur l'apprentissage de techniques de jeu comme la passe, le pied de pivot, le tir crochet, etc., qui sont des compétences indispensables pour évoluer sur le terrain. 
On leur apprend aussi à perfectionner, renforcer leurs habiletés, leur dextérité et coordination : on travaille le rebond offensif et défensif, la finition près du cercle, la prise de balle, etc. 

Lors des séances de jeu collectif, on inclut des exercices où nous les mettons en situation de duel, de confrontation, mais aussi de collaboration. En s’opposant ainsi à d'autres joueurs de gabarits similaires, chaque participant peut affiner son jeu en opposition directe et renforcer ses capacités de décision et d’adaptation, exactement comme ils doivent l'être en situation de match.

Enfin, je tenais à dire, qu'au-delà de l’aspect purement sportif, ces stages sont l'occasion pour ces jeunes, outre de partager sa passion pour le basket, de se sociabiliser un peu plus - car on sait que lorsqu'on est très grand, on se met un peu toujours plus en retrait des groupes, on est sur la réserve généralement - . Là, garçons comme filles s'émancipent : ils se lient d'amitié, peuvent avoir  des sujets de conversation, de partage d'expériences autour de leur grande taille, mais pas que … Et ils prennent du plaisir à apprendre, à être là, donc c'est gratifiant aussi pour nous, encadrants. »

Isabelle Fijalkowksi : « Filles comme garçons, les profils des T.G.G sont différents. On peut avoir des jeunes qui sont en retards en terme de maturité ; c'est-à-dire qu'ils /elles sont très grand·e·s et très fin·e·s, comme on peut aussi avoir des jeunes aux physiques plus imposants.

Certain·e·s sont déjà parfaitement coordonné·e·s, tandis que d'autres doivent encore développer leur schéma moteur, parce qu'ils/elles qui bougent tout le temps, du fait de leur taille, de leur corps qui continue de grandir et ils/elles peinent encore à se repérer dans l'espace. La taille étant d'ailleurs un paramètre très incertain, leur développement nécessite un accompagnement sur mesure.

Ensuite, il peut y avoir des jeunes qui pratiquent le basket depuis plusieurs années en club, comme d'autres qui viennent d'autres sports et qui débutent tout juste.

À tous·tes, leur point commun est que leurs aptitudes physiques et techniques, de part leur gabarit, nécessitent des méthodes et des entraînements différents de celles enseignées aux autres joueurs / joueuses de taille 'standard' ou évoluant à d'autres postes que celui d'intérieur. »

Isabelle Fijalkowksi : « Nous avons plusieurs journées de stage réparties sur l'année. Ces journées se déroulent sous forme d’ateliers avec un maximum de 20 participant·e·s par session, permettant ainsi un suivi personnalisé et intensif de chaque jeune. Nos objectifs sont de leur permettre de développer leurs compétences individuelles en leur enseignant des techniques d'échauffement, d'entraînement et de jeu adaptées à leur gabarit. 

Le staff d'encadrants est composé d’entraîneurs expérimentés, spécialistes du jeu d'intérieur, et d’ancien·e·s joueur·euse·s professionnel·le·s qui viennent assister aux entraînements ; ces dernièr·e·s prodiguent leurs conseils et partagent aussi leur expérience de 'Grand'. Une dizaine d'anciens basketteurs et basketteuses se relayent ainsi  régulièrement. Parmi eux, on compte Franck Tshiloemba (2m05), Emir Coco (2m07), Hajdana Radunovic (1m93), Kerline Verjuin (1m88), ... La saison dernière, Bastien Vautier (2m01), d'origine Francilienne, actuellement pivot à l'ASVEL ainsi que l'ancienne basketteuse internationale Helena Ciak (1m97) étaient présents.

Lors d'une journée de stage type, nous sensibilisons toujours les jeunes à l'importance de l’échauffement, de la préparation physique et de la prévention des blessures. On leur enseigne des méthodes et des exercices qu'ils n'expérimentent généralement peu ou pas dans leur club, afin qu'ils soient en mesure de les reproduire de façon autonome dans la suite de leur parcours.

Ensuite, nos séances d’entraînement sont toujours structurées de manière équilibrée : on consacre généralement la moitié du temps aux fondamentaux spécifiques techniques et physiques et le reste du temps à des moments collectifs sous forme de jeu, allant du 1 contre 1 au 3 contre.

Pour ce qui concerne les fondamentaux spécifiques liés au poste de joueur intérieur, on axe les entraînements sur l'apprentissage de techniques de jeu comme la passe, le pied de pivot, le tir crochet, etc., qui sont des compétences indispensables pour évoluer sur le terrain. 
On leur apprend aussi à perfectionner, renforcer leurs habiletés, leur dextérité et coordination : on travaille le rebond offensif et défensif, la finition près du cercle, la prise de balle, etc. 

Lors des séances de jeu collectif, on inclut des exercices où nous les mettons en situation de duel, de confrontation, mais aussi de collaboration. En s’opposant ainsi à d'autres joueurs de gabarits similaires, chaque participant peut affiner son jeu en opposition directe et renforcer ses capacités de décision et d’adaptation, exactement comme ils doivent l'être en situation de match.

Enfin, je tenais à dire, qu'au-delà de l’aspect purement sportif, ces stages sont l'occasion pour ces jeunes, outre de partager sa passion pour le basket, de se sociabiliser un peu plus - car on sait que lorsqu'on est très grand, on se met un peu toujours plus en retrait des groupes, on est sur la réserve généralement - . Là, garçons comme filles s'émancipent : ils se lient d'amitié, peuvent avoir  des sujets de conversation, de partage d'expériences autour de leur grande taille, mais pas que … Et ils prennent du plaisir à apprendre, à être là, donc c'est gratifiant aussi pour nous, encadrants. »

Isabelle Fijalkowksi : Il faut passer par les comités ou les clubs ; ces derniers me contactent ensuite directement au sein de la Ligue via ce formulaire en ligne qui simplifie la démarche :

https://forms.gle/NbeFrJK8F17Hdhh4A

Il est également possible de me contacter directement : ifijalkowski@basketidf.com

Et pour en savoir plus sur la ligue de Basket d'Île-de-France : https://www.basketidf.com/