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 x témoignage

© Crédit Photo : AFBBN

Roland Vazzoler,
1m95, bodybuilder 'naturel'

Roland Vazzoler,
1m95, bodybuilder 'naturel'

Roland Vazzoler est culturiste depuis 2022 et participe à des compétitions de bodybuilding "naturel", c'est-à-dire qu'il ne recourt à aucun produit dopant.

 

Au quotidien, il exerce le métier de coach sportif privé spécialisé dans l'accompagnement des personnes de très grande taille !

 

Également créateur de contenus, connu sous le pseudonyme Tallnshape, Roland publie régulièrement des vidéos d'exercices et de conseils à destination des 'Tall'.

Pour 1MÊTRE90, il a accepté de témoigner sur son parcours, sur sa transformation physique et sur ce qui lui plaît dans la pratique du culturisme.

Confidences également sur son enfance d'une tête de plus et sur le jour où il a eu le déclic de sculpter son grand corps.

©  Crédit photos :
WNBF France

présentation

 

 Prénom  Roland
 Nom  Vazzoler
 Taille  1m95
 Né en  1989
 Lieu  Colombes
 Nationalité

 Drapeau de la France Français

 
 Discipline  Culturisme naturel
 Catégorie  Classic Vintage
 
palmarès
2022
4ème place - catégorie "Classic physic open" au "Natural show du Perray" organisé par l' AFBBN. 
2024
Médaille de Bronze Médaille de bronze - catégorie "Classic physique heavyweight" à la "Heroes Cup" 

 

témoignage

«

 ENFANCE 
Roland Vazzoler

« J'étais plutôt un grand timide, je lisais des bandes dessinées, jouais avec des figurines. J'aimais bien la solitude parfois, jouer dans mon coin, me mettre à l'écart. Concernant ma pratique sportive, en primaire, je jouais beaucoup au foot avec les copains ; je n'étais pas forcément doué, mais j'aimais courir, me dépenser. C'est à partir du collège, que j'ai commencé à pratiquer différents sports : de l'escalade, du basket et de l'athlétisme, aussi, en club. Je faisais des courses d'endurance, du cross en forêt. Puis, pendant la période lycée + fac, j'ai un peu arrêté, faute de motivation, d'envie.

Question morphologie, ado, j'étais plutôt grand et frêle, je manquais d'assurance et aussi un peu de confiance en moi.
À 15 ans, je mesurais 1m90 ; j'ai gagné mes cinq derniers centimètres entre 15 ans et 19 ans.
Le fait de grandir et d'être d'une tête plus que la moyenne n'était pas un sujet de conversation particulier en famille. Mon père mesure 1m88, ma mère 1m68, mon frère 1m86. On vivait la grande taille comme quelque chose de positif. C'était même un défi entre mon père, mon frère et moi. Mon père nous mesurait contre un mur et mettait des marques au crayon de papier.

Pour ma part, c'est au collège, en classe de 6-ème, que j'ai pris conscience de la perception des autres sur ma taille. 
Je me souviens d'un jour, à la pause déjeuner, au self ; les 6-èmes passaient toujours en premier, suivis des 5-èmes et ainsi de suite. Et - ça m'a vraiment marqué - un surveillant m'a interpelé et dit : "Toi, le 4-ème, tu sors de la file et tu attends ton tour !"
Mais, même si j'étais effectivement plus grand que tous mes camarades et, idem que tous les profs,  j'ai toujours pris ça avec détachement et humour, je trouvais ce genre de situations drôles. 

Donc j'ai plutôt vécu ma taille comme une force, même s'il m'arrivait de ne pas avoir trop confiance en moi. De toute façon, tout le monde à tendance à se charrier, moi le premier, je charrie. Après cela dépend de la manière dont c'est formuler, mais oui, comme tout grand j'ai entendu des remarques, des blagues, 'baisse toi y' a un avion qui passe, il fait beau là-haut', etc. Les problèmes venaient plus des enfants que des adultes ; comme j'étais réservé, les petits me cherchaient un peu la bagarre, me défiaient un peu… » 

 DEVENIR COACH SPORTIF 
 POUR LES "TALL" 

Roland Vazzoler

« Ado, je ne savais pas trop vers quelle orientation professionnelle me tourner pour ma vie d'adulte. Quand je suis sorti du lycée, j'ai fait dans un premier temps une licence pro dans l'optique de devenir commissaire de police ; mais j'ai vite déchanté, c'était beaucoup de droits à apprendre, beaucoup de par cœur, de notions compliquées à prendre en compte selon les situations …
Comme j'aimais le sport, je me suis alors dirigé vers des études en lien avec le management avec l'idée de travailler dans l'événementiel sportif.

À 25 ans, j'ai ainsi animé des manifestations sportives, culturelles et manuelles auprès d'enfants. Avantage de la grande taille : j'étais un peu intimidant, donc je n'avais pas trop de difficulté à les gérer ! (rires) Par contre, ils étaient en primaire, donc c'était assez compliqué, c'est vrai, de mettre constamment à leur hauteur ou de me déplacer, cohabiter avec leur mobilier, leur environnement de petits… 

À 30 ans, cela faisait déjà quatre années que je pratiquais la musculation à titre personnel ; mon métier dans la fonction public ne me rapportant pas beaucoup d'épanouissement, ni de revenus - il faut l'avouer - , j'ai senti que c'était le bon moment pour me lancer dans une nouvelle voie. J'ai décidé de me former et de passer un diplôme pour devenir coach "haltéro, muscu et cours collectifs" pour exercer ce métier à l'année. 

Pendant un an, j'ai entraîné des femmes et des hommes de tous âges, de toutes situations, ayant pour point commun d'avoir du mal à conjuguer leur emploi du temps avec leur bien-être physique, alimentaire et mental.

Puis, c'est en 2022, en consultant des groupes de 'grands' sur les réseaux sociaux, que je me suis rendu compte de l'intérêt de beaucoup de personnes de grande taille pour obtenir des conseils pour prendre soin de leur physique.
Je me suis reconnu dans leurs commentaires et leurs questionnements, moi-même, cinq ans avant mon diplôme, je suivais les exercices de monsieur et madame Tout-le-monde et étais assez déçu du manque de résultats. Le fait est que les coachs, en général, s'en foutent d'adapter leurs cours selon les gabarits des personnes, notamment des personnes de très grands gabarits. Soit tu fais ou tu ne fais pas, tant pis. Or, c'est physique, notre taille rend indéniablement plus difficile l'exécution et la performance de certains mouvements comme les squats, les développés couchés, les tractions, et donc notre progression est plus difficile. 
Pour ma part, par exemple, je faisais extrêmement mal tout ce qui relève des exercices de sauts, car je ne parvenais à descendre assez bas. J'essayais pourtant de suivre les consignes, j'insistais, mais en vain. Tout simplement parce que l'exercice n'était pas adapté pour moi. 

C'est donc pour cette raison que j'ai décidé de mettre à profit mon expérience personnelle emmagasinée pendant des années pour prodiguer mes méthodes aux gens qui rencontrent les mêmes souffrances, difficultés et déceptions que celles par lesquelles je suis moi-même passé. À ce jour, j'exerce en salle, à Colombes, dans les Hauts-de-Seine, où je vis, ainsi qu'en ligne. »

 SE SCULPTER UN CORPS
 QUAND ON EST "TALL" 

Roland Vazzoler

« J'ai commencé la muscu à 26 ans, à raison de deux fois par semaine, puis plus régulièrement. Ma motivation des débuts était que je me trouvais beaucoup trop mince ; je pesais 80 kg pour 1m95, j'avais donc un physique grand et frêle, un manque cruel de force et une image quelque peu négative de mon corps. Je flottais dans tous mes pantalons et nageais dans mes tee-shirts. Aujourd'hui, c'est agréable de porter des vêtements un peu plus serrés, ajustés à ma morphologie. Se sentir bien dans ses vêtements change aussi notre attitude. 
De mémoire, j'ai eu le déclic de me rendre en salle de sport en ayant vu une photo de moi en maillot de bain en vacances sur laquelle je me suis vraiment trouvé très longiligne. Le fait d’être grand expose davantage au regard d’autrui et ce n'est pas facile quand on cohabite avec ses complexes. Maintenant, à la plage, être en maillot de bain, ce n'en est plus un pour moi… Je ne passe pas toujours pas inaperçu, mais c'est que du positif ! (rires) 
Après, la réalité pour se sentir bien avec soi-même est de ne pas se soucier du regard des gens… 

Pour moi, la pratique de la musculation m'a fait gagner en assurance, en confiance en moi. 
Aujourd'hui je pèse 95 kg, j'ai pris 10 kg de masse musculaire. Je me tiens plus droit, j’ai un dos solide, j'arrive à toucher facilement le sol avec mes main jambes tendues bien que celles-ci soient longues comme des lampadaires !
Après, me rendre à la salle pour m'entraîner est devenu presque mécanique, j'y vais d'instinct. Et ce qui me rappelle pourquoi je suis là, en train de faire ça, c'est quand je bats mes propres records sur une charge par exemple ; ça me challenge. Et puis échanger avec des gens aussi, c'est stimulant.

Ceci dit, comme je l'ai expliqué précédemment, il ne faut pas croire que mes six années de musculation ont été marquées par une progression irréprochable. J'ai eu énormément de mal à acquérir mon physique. Et pour autant, je n'ai jamais ressenti de démotivation parce que je savais qu'il était normal que je mette plus de temps à atteindre mes objectifs et à obtenir certaines performances. Je savais que je devrais composer avec cette part de frustration et je l'ai acceptée ; j'ai accepté que ma morphologie prendrait plus de temps à être modelée comme je l'entendais.

L'une des clefs est de savoir maximiser les exercices. On n'est pas obligé d'avoir un volume de dingue pour progresser ; deux ou trois bons exercices adaptés à sa morpho et effectués avec intensité valent mieux que sept exercices moyens effectués à l'arrache.

Par exemple, pour prendre des quadriceps, le 'squat' classique n'est pas optimal car il accentue surtout le travail des fessiers et du bas du dos ; quand on a de longs fémurs, c'est normal de ne pas descendre droit ; il y a quelques astuces pour y remédier : écarter un peu plus les pieds, mettre des cales sous les talons, utiliser des machines comme le 'hack squats', faire aussi des exercices d'isolation comme le "leg extension" ou encore le "sissy squat" ou encore augmenter sa mobilité.
Pour prendre des pectoraux, le 'développé couché' n'est pas non plus optimal quand on a de longs avant-bras et une cage thoracique étroite, il est alors préférable de décliner un peu plus le banc de muscu. Concernant 'les dips', il faut pencher d'avantage son buste en mettant également ses genoux en avant ; on peut aussi faire des exercices d'isolation en série longue comme des écartés avec des élastiques …

C'est ce type de méthode que je partage aux gens que je coache.

À côté de l'aspect sportif, il y a aussi l'aspect nutritionnel à prendre en compte ; quand on est grand et frêle, la prise de masse se joue aussi par rapport à ce que l'on mange. Ma propre expérience m'a permis de comprendre qu'il était vain de se gaver.  Là aussi, trouver la bonne formule a été difficile. Pendant deux - trois ans, j'avoue, j'ai un peu expérimenté et fait n'importe quoi. Je mangeais beaucoup trop, j'étais ballonné, du coup j'allais souvent aux toilettes… J'ai donc appris à évaluer la bonne densité calorique des aliments et à bien manger. 
Au-delà du physique, c’est aussi mon mode de vie tout entier qui a changé ; il est plus axé sur la santé, le bien être. »

 PARTICIPER À DES COMPETITIONS 
 DE CULTURISME 

Roland Vazzoler

« 2022 est l'année où j'ai engagé ma reconversion professionnelle pour devenir coach sportif, mais c'est aussi l'année où, par curiosité, j'ai décidé d'expérimenter ma première compétition de culturisme. 
Je cherchais sur Internet s'il existait une fédération de culturisme 'naturel' pour être en adéquation avec ma philosophie de vie et mon approche su sport. J'ai découvert l'AFBBN, l'Association de Fitness et de Body Building Naturel. On était en février et une compétition était prévue en mai de la même année. Je me suis inscrit. Ça a été une décision et une motivation très rapides de ma part. J'étais novice, mais pour le fun, je me suis dit : "Allez je tente ! " Pour l'expérience d'une part et puis pour voir ce que ça donnait. J'y suis allé, sans réel enjeu, mais par jeu.
Je n'étais pas encore très massif, j'étais encore un peu maigre selon moi, bien que dessiné, mais c'est le ressenti que j'ai vécu sur scène en tout cas. De tout façon, dans le body building, la taille moyenne des concurrents est d'1m70-75 au physique massif, donc moi à côté, du haut de mon metre95, je ne peux que visuellement paraitre que plus maigre à côté d'eux, surtout au niveau du dos. Je sortais du lot de par ma grande taille.  À ma grande surprise, j'ai fini 4ème "Show du Perray" !

En 2023, j'ai réitéré l'expérience. Je n'ai pas fini classé, je devais être entre le 6ème et le 9ème. Par-contre, j'avais, entre-temps, développé ma masse et m'étais présenté avec mon poids de maintien : 90 kg.

J'évolue volontairement dans la catégorie "Classic Physique" car ce qui compte dans cette catégorie, ce n'est pas la masse, mais l'esthétique élancée présentée, répondant aux critères du "Posing". Pour évoquer les clichés, on va dire que le "Body building" est péjorativement associé aux physiques un peu de 'gros bœufs' gonflés aux produits dopants. Le "Classic Physique", lui, privilégie le naturel. Le corps y est présenté à la manière des statues grecs. Avec le "Classic", apparu en 2016, on renoue avec l'esthétique des athlètes du Body building tel qu’il était pratiqué dans les années 1950, 60 et 70. 
C'est la performance artistique, l'esthétisme de la mise en valeur du physique qui est jugée et c'est ce qui me plaît. Lors d'une compétition, il y a deux passages : le premier comprend des poses imposées où il faut mettre en avant, entre autres, ses biceps, ses abdominaux et ses cuisses. Puis il y a un second passage où le "Posing" est libre. C'est à nous de proposer une chorégraphie entièrement libre d'1min30. Quand on "pose", l'idée est de mettre plus en avant certains muscles. Pour ma part, j'évite de montrer mon dos, par contre, je joue de mon envergure. "Posing is an illusion" comme on dit dans le milieu du culturisme ! L'acteur Arnold Schwarzenegger, qui est grand aussi (1m88) et qui a pratiqué le culturisme, savait cacher ses défauts ; il tirait le  "Posing" à son avantage.

Vivre les compétitions, c'est galvanisant aussi. Le public est généralement silencieux car le format en lui-même est assez long, il y a beaucoup de moment de transitions où la scène est vide, les gens parfois un peu endormis... Mais dès que le speaker met l'ambiance, le public participe autant que nous au show ! Après le temps même de la compétition on est dans nos bulles respectives, concentrés. Intérieurement, on s'observe entre compétiteurs, alors qu'en façade, c'est bon enfant, on ne laisse rien transparaître… Mais c'est un leurre… On se regarde, on se dit : "Tiens, lui il est sec". En backstages, on observe celui ou ceux qui semblent les plus redoutables, ceux à abattre. ! (rires) 
Je ne me trompe jamais ; en tout cas je ne me suis jamais trompé à la vue des physiques. Je sais tour de suite qui a la certitude d'être sur le podium. Cela se juge aussi à l'attitude que les athlètes ont sur scène; elle confirme rapidement que j'avais raison.

Je trouve que le culturisme est un sport qui gagne à être plus popularisé, qu'il y est une meilleure exposition médiatique envers le "Posing".»

 FIERTÉ 
Roland Vazzoler

« En débutant la musculation, j'ai pris du plaisir à voir mon corps progressivement changer. Et c'est bien de dire que, que tu sois un ado ou un adulte d'une tête de plus, ton corps, ton physique tel qu'il est actuellement n'est pas irréversible ; en faisant des exos adaptés, on arrive à le faire évoluer. Moi ado, j'étais vouté, on peut changer sa posture en faisant ce qu'il faut. Être grand est une force, peut être qu'on ne le perçoit pas tous les jours, mais perso, moi j'y toujours vu cela en ce sens, il faut être fier de sa grande taille et savoir l'exploitée.

Ensuite, en ce qui concerne le culturisme, ma plus grande 'fierté' ou 'satisfaction' on va dire, est de voir avec plaisir mon corps s'épaissir. Cela me motive de voir jusqu'où je peux aller, à quel point je peux le transformer, me dessiner. J'apprécie d'observer les changements, voir la sèche évoluer, voir le gras que je perds, voir les stries se dessiner quand je contracte les fessiers ... Ce sont des petits détails gratifiants qui me donne encore plus envie d'avoir un meilleur physique, d’aller jouer des compétitions, d'apprécier mon propre dépassement… J'aime vraiment prendre le temps d'apprécier tout le processus, chaque progrès réalisé aussi minime soit-il ; le simple fait de progresser est une source de satisfaction.
Généralement, les jeunes veulent obtenir des résultats trop vite et ont donc parfois recours à des produits dopants. C'est dommage, il faut privilégier la santé avant tout et le physique suivra de toute façon… 
Quel que soit le sport choisi, il faut être vigilant aux signes de surentraînement ; respecter les temps de récupération est tout aussi important, dormir suffisamment, 7h de sommeil par nuit minimum, car c'est pendant sommeil le corps se reconstruit. 
Manger correctement pour limiter les inflammations… La natation est un sport plutôt idéal à pratiquer en parallèle pour développer sa coordination. C'est également bon pour le dos et les triceps, il y moins d'impacts où de contraintes.  »

 QUOTIDIEN 
Roland Vazzoler

« Je m'entraîne six fois par semaine. J'alterne les exercices : si je fais les jambes le lundi, je ne les retravaille que le jeudi ; entre-temps je fais volontairement travailler un autre groupe musculaire. Enfin - et c'est propre à moi -, tous les deux mois, pendant une semaine, je diminue le volume de mes entraînements, je relâche le rythme et profite un peu plus de mon temps libre, je fais d'autres activités que le sport.

Les sportifs qui m'inspirent ? 
J'ai 36 ans et donc je suis admiratif du basketteur James LeBron et des footballeurs Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, parce qu'ils ont entre 35 et 40 ans et qu'ils sont toujours au top.

Mes prochains objectifs ? 
Je vais participer à l'ʼHyrox de Bordeaux qui se déroulera du 20 au 23 novembre 2025. La compétition combine des épreuves de courses à pied et de fitness ... Être grand est un avantage dans différents sports ; là,  il faut exceller dans ces deux disciplines, je veux voir à quel point je peux être bon personnellement ! Cela impliquera, pour ma part, une préparation pendant 10 semaines à raison de six séances de 1h30 de muscu, une bonne gestion de ma prise de masse, puis de la sèche et zéro repas "plaisir". On verra après pour ça ! Le reste de l'année, en dehors des périodes de compétitions, je m'autorise deux repas 'plaisir' par semaine ! (rires)
Enfin, en 2026 je referai de nouveau des compétitions de culturisme. Je suis maintenant licencié de la Fédération Française de Force. » (grand sourire)

»

1MÊTRE90 remercie Roland Vazzoler de son partage d'expérience ; vous pouvez le suivre sur ses réseaux sociaux, où il partage des vidéos conseils à destination des 'Tall' souhaitant sculpter leurs corps :

Instagram de Roland Vazzoler
https://www.instagram.com/tallnshape/

Facebook de Roland Vazzoler https://www.facebook.com/rolandvazzolercoachsportif

YouTube de Roland Vazzoler https://www.youtube.com/@Tallnshape

 

1MÊTRE90 remercie également l'Association de Fitness et de Body Building Naturel (https://www.afbbn.fr) et la World Natural Bodybuilding Fédération France (https://wnbf.fr/) pour l'autorisation d'exploitation des photographies présentes dans ce sujet.

 
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